Maitre Fred

Maitre Fred est une confession basée sur le BDSM soumission et domination. Elle excelle dans le domaine avec ses pratiques maitrisées...

L’histoire que vous allez lire est une histoire vraie telle qu’elle s’est déroulée avec Maitre Fred…

Attention public averti. Je vous invite à lire en fin d’histoire mes commentaires. 

Depuis cinq jours, je discute avec un mec sur Grindr. Nos premiers échanges étaient assez banals, mais il a soudainement lâché qu’il était dominant et actif en BDSM, me demandant quels étaient mes trips. J’ai répondu que j’étais plutôt passif et soumis et bdsm, et c’est là que tout a basculé.

Il a commencé à prendre le contrôle sur mon mental. On a échangé sur mes limites et mes désirs, et j’ai vite compris qu’il était très expérimenté. Il m’a proposé un stage de deux nuits en vue d’un contrat d’appartenance. Après quelques négociations, on s’est mis d’accord pour qu’on se voie lundi et mardi soir.

En attendant, je dois suivre ses ordres. Je n’ai plus le droit d’avoir de rapports avec d’autres personnes et je dois raconter ma vie de tous les jours dans un carnet. Chaque fois que je désobéis, il me donne des punitions que je dois écrire dans un autre cahier, spécialement pour ça.

Lundi 25 08 soir, à 20h, je sonne. Je suis la consigne : j’entre, je me tourne, le visage et le torse contre la porte. C’est le signal. Il arrive et me pose la cagoule sur la tête, puis les menottes derrière le dos.

Une fois que je suis complètement immobilisé et dans le noir, il me demande d’une voix autoritaire : « Quelle était la consigne ? »

Je lui réponds en répétant ce que je viens de faire.

« Non, tu devais être à genoux, » me coupe-t-il.

« Non Maître, ce n’était pas dit, » j’insiste, presque sans réfléchir.

« Tu me contredis ? » sa voix se fait plus basse, plus menaçante, et avec une perversité palpable.

« Non Maître, j’indique juste que ce n’était pas écrit, » je me corrige, réalisant mon erreur.

Il termine, avec une voix pleine de sous-entendus et de promesses sombres : « On va bien s’entendre toi et moi. »

Il me guide dans sa maison. Je suis toujours cagoulé, je ne vois rien, je ne fais que suivre. « Laisse-moi faire, arrête de contrôler, » me dit-il.

Soudain, il s’arrête. L’ordre claque, direct et sans appel : « À genoux, petite pute. »

Je m’exécute immédiatement, sans broncher. Il passe devant moi, s’assoit et m’attrape par la tête, la posant sur sa cuisse.

« Pourquoi viens-tu ici ? » me demande-t-il.

« Pour vous servir, » je réponds.

« Mais encore ? »

« Pour libérer mes tensions professionnelles. Pour ne plus avoir à penser. Pour vous appartenir. »

« Bien. Tu sais ce que ça implique ? »

« Je pense Maître… » je commence, mais il me coupe.

« Tu penses, toi ? »

Je me corrige immédiatement : « Non Maître, j’obéis. Dites-moi ce que ça implique, Maître. »

« Une obéissance sans faille, » me dit-il. « Je déciderai de tout sur ton corps à tout moment. »

« Oui Maître, j’ai compris. »

Il me repousse, me déboutonne la chemise et me pince les tétons. « As-tu amené ton matériel et tes cahiers ? As-tu fait ton écrit du jour ? » me demande-t-il.

Je reste sans voix, pris de court. Finalement, je murmure : « Non Maître. »

« Pourquoi ? »

« J’ai pensé que puisque je venais, je vous le ferais à l’oral. »

« Tu as pensé, toi ? »

« Oui Maître, pardon Maître, je n’aurais pas dû. »

Je me sens pris en faute, encore une fois.

« Où en est-on des punitions ? »

« Je crois qu’il y avait 5 coups de fouet à venir. »

« Que 5 ? »

« Le nombre qui vous conviendra, je n’ai pas à décider. »

« Ça commence à rentrer, » dit-il. Ma chemise est toujours sur mes coudes.

« Je prends mon fouet ou le tien ? »

« Celui que vous voudrez, Maître. »

Il part, me laissant en plan dans cette tenue. Il revient avec un bâillon boule qu’il me met, et des pinces qu’il fixe à mes tétons. Il se place devant moi et m’annonce : « Trente coups pour ton arrogance et tes manquements. J’ai pris le tien, il a plus de lanières. » Je me dis que je vais morfler.

Le premier coup tombe. « Je n’entends pas ! » dit-il.

À travers le bâillon, j’essaie de crier : « Un ! »

« Quoi ? »

« Un ! »

Puis « deux », puis « trois »… À dix, il s’arrête. « Je ne comprends rien, on recommence. » Et la même chose se produit à vingt. À chaque coup, je crie le chiffre, ma voix étouffée par le bâillon.

Je crie aussi de douleur, mes cris étouffés par le bâillon, à cause des pinces, de mes couilles, et de ma queue enfermée dans la cage de chasteté qu’il m’avait demandé de porter.

Puis le supplice s’arrête. Il me fait mettre la tête sur sa jambe et me félicite. Il retire le bâillon et me dit de reculer.

« Lèche mes pieds. »

Je ne vois rien, je cherche avec ma bouche. Finalement, je trouve et je me mets au travail. J’entends le bruit des pages qu’il tourne. Il a mon cahier de vie dans les mains.

« Tu as oublié de parler de ….. ? » me demande-t-il.

« Non Maître, je l’ai écrit. »

« Donc si je le lis, je vais tout trouver petite pute ? »

« Oui Maître. » Je m’étais arrêté de lécher ses pieds pour lui répondre, et il me remet immédiatement au travail de ses grandes mains.

« Je t’ai dit d’arrêter ? Et j’ai deux pieds. »

Je me penche de l’autre côté et je cherche désespérément. Il bouge son pied, mais je finis par le trouver et je reprends mon travail.

Au bout d’un moment, il dit : « Redresse-toi, à genoux. » Il se lève et part, puis revient avec un écarteur de bouche qu’il me met. Il s’assoit en face de moi pour m’enfoncer deux ou trois doigts dans la bouche, ce qui me provoque des spasmes et des envies de vomir.

« C’est pas facile de ne pas contrôler, hein, petite pute ? » me dit-il. Je bave sans cesse, ma salive coulant sur mon torse.

« Tu sais ce qui se passe, petite pute, quand on joue avec la bave et le couteau électrique ? » me demande-t-il.

« Ça fait mal, Maître, » je réponds, ma voix étouffée par l’écarteur de bouche.

Il enclenche le couteau. Sauf que je l’avais préparé, j’avais enlevé les piles.

Il sent tout de suite la supercherie et je comprends qu’il n’est pas content. « Tu m’as fait une blague, » dit-il, la voix dure. « On réglera ça tout à l’heure. »

Puis il change de ton et me donne un nouvel ordre : « Je vais t’enlever les menottes. Tu auras une minute pour te deshabiller totalement et te remettre à genoux en caleçon. »

« Oui Maître, » je m’empresse de répondre.

Je m’exécute, il me remet les menottes, et me voilà de retour à ses pieds. « Tu sais que c’est là où tu vas passer le plus clair de ton temps, » me dit-il. Je ne m’arrête pas de lécher, en alternant ses pieds.

« As-tu déjà été esclave domestique ? »

« J’ai déjà fait le ménage et la cuisine pour un maître, » je réponds.

« Non, ce n’est pas ça. Esclave domestique, c’est servir aussi à table les convives… ou sous la table quand je reçois mes potes domis. »

« Non Maître, je ne l’ai jamais fait. »

« Il faudra être bon, car si tu me déçois ou que tu déçois mes amis, on ne sera pas contents. Et tu t’en souviendras. »

« Apprenez-moi, Maître. Je ne l’ai jamais fait. »

« On verra, » me dit-il en attrapant mes couilles et en les serrant.

« Redresse-toi. Lève-toi. »

Il se place derrière moi et me guide jusqu’à une autre pièce. Il détache une menotte, me fait passer les bras devant et me les refixe. Il me penche sur ce qui doit être une table. « Si tu bouges, ça va mal se passer. »

Et il part, me laissant seul, courbé en avant, les mains liées.

Il revient vers moi et m’enlève la cagoule, mais avant que je n’aie le temps d’ouvrir les yeux, il me dit : « Tu fermes les yeux, tu ne dois pas voir. » Il me redresse, me met un masque sur les yeux et le scotche pour que je ne voie plus rien.

Il me soulève, me place les fesses sur la table et me fait m’allonger. Il me donne un nouvel ordre : « Remonte sur la table. La tête dans le vide. »

Mes pieds sont maintenant sur la table, ma tête pend dans le vide au-dessus du sol.

« As-tu déjà été bondé ? »

« Oui Maître. »

« Sur une table ? »

« Non Maître. »

« Bien. »

J’entends le bruit du cuir. Il m’enfile les gants en cuir que j’avais apportés. Je reste immobile, en attente.

« Puis-je parler librement, Maître ? »

« Oui, tu peux parler, » me répond-il, une autorisation qui résonne comme un test.

« Quelle heure est-il, Maître ? » je demande.

« Tu t’ennuies, petite pute ? »

« Non, Maître, » je me dépêche de répondre, « mais j’ai programmé des messages et je ne veux pas être surpris par les réponses de ma famille. »

« 21h00, petite pute. »

« Bien. Maintenant, je vais t’attacher. Tu ne bouges pas. »

« Maître, ma tête me fait mal à force, » je me plains, sans réfléchir.

Sa voix se durcit immédiatement : « Ah oui ? Je t’ai autorisé à reparler ? »

« Non Maître, » je m’excuse, conscient de ma faute.

« Alors je ne veux pas t’entendre. »

Il commence son ouvrage. Je sens ses mains travailler. Il attache mes mains prisonnières des gants en cuir , puis mes jambes, et je sens une tension étrange sur mon gros orteil gauche. Il le tire, le maintient tendu, et la douleur s’installe lentement. Cela dure bien quinze minutes. Pendant ce temps, il me met un support sous la tête, un petit soulagement temporaire.

Une fois que je suis complètement attaché et que je sens une corde me servir de bâillon, le silence revient. Il m’abandonne là, dans le noir, pendant trente longues minutes. Seul. Attaché. Impuissant.

Avant de partir et de me laisser là, il a posé un sac plastique sur mon ventre. En éteignant la lumière, je l’ai entendu dire : « On va voir ce qu’on peut faire de ça. »

Je suis totalement impuissant, incapable d’approcher mes mains de ce sac. Elles sont attachées, emprisonnées dans les gros gants en cuir que j’ai apportés. Je me calme et me résigne, patientant en écoutant la musique brésilienne qui tourne en fond sonore depuis le début de la soirée.

Au bout d’un certain temps, il revient. Je l’entends s’approcher. « Ça va ? » me demande-t-il. Je ne peux pas répondre correctement à cause des cordes qui me bâillonnent, mais j’essaie de murmurer un « oui Maître » étouffé.

Avec une lenteur calculée, il retire les cordes. Il remet l’écarteur de bouche à son maximum, puis il ouvre le sac. Au toucher, je sens qu’il pose des électrodes sur moi, en y ajoutant du gel conducteur. Je comprends alors. Je vais subir une séance d’électro-stimulation.

Il y en a partout sur mon corps. Il allume alors l’appareil. Les décharges commencent doucement, puis se font de plus en plus vives, pour finir au maximum. Au début, je suis surpris, mais je m’habitue, et je commence même à me sentir bien.

Soudain, il retire le support sous ma tête. Je comprends que le calvaire ne fait que commencer. Il insère alors sa queue dans mon écarteur. Elle n’est pas bandée, mais elle est épaisse, et il me l’enfonce sans que je ne puisse rien faire pour me défendre.

Ce traitement dure dix longues minutes. Il m’étouffe complètement, je n’arrive plus à respirer, et je commence à paniquer. Dans un moment de répit, je rassemble ce qui me reste de force pour crier que je veux arrêter. Je me mets à pleurer.

« Tu fais une crise de panique, petite pute. C’est ça, lâcher prise, » me dit-il.

Il me retire l’écarteur de bouche et appuie autour de mon cou, comme pour m’étrangler, pour me calmer. Quand il sent que je suis apaisé, il remet sa queue dans ma bouche jusqu’au fond, et me fait sucer tranquillement puis plus profondément.

Il replace le repose-tête, puis déplace certaines électrodes. Je hurle de douleur, mais aussi de plaisir. « Je te laisse redescendre la pression. Tu as une bonne endurance, » me dit-il.

Il quitte la pièce pendant au moins trente minutes. Je l’entends de temps en temps venir voir si je vais bien, et je l’entends installer quelque chose. À son retour, il me répète que j’ai une bonne endurance, et ajoute qu’il est frustré de ne pas pouvoir jouer avec les sondes sur moi, car c’est l’une de mes limites, mais que l’électro est bien « pervers » comme il aime.

« Reste à savoir si tu sauras assez endurant pour dormir dans la cage au pied de mon lit ou seul dans une pièce. » Je ne réagis pas.

Il éteint toutes les stimulations électriques, et je ressens un manque. J’aurais aimé que ça dure encore. Il me détache petit à petit, me fait asseoir, puis me met debout. « On va faire un temps calme, » me dit-il.

Enfin une pause, je me dis que j’en ai bien besoin.

Mais il n’en est rien. Il me guide contre une croix et m’attache les pieds et les bras. Il remet le bâillon boule et les pinces à tétons. Il les triture, me faisant hurler de douleur. Puis il me laisse là, et je l’entends préparer autre chose.

Pour atténuer la douleur, je me concentre sur la musique. Parfois, il passe près de moi et me frôle. « Sans faire exprès, » me dit-il, mais je sais que ce n’est pas vrai. Je souffre, mais j’aime ça. C’est ce que je suis venu chercher.

Puis il se plaque contre mon torse. Je sens son odeur, ma tête dans son cou, et je sens qu’il est plus grand que moi. Il retire une pince et appuie sur mon téton. Je hurle tellement la douleur est vive, mais l’odeur de son cou m’apaise. Il passe ensuite au second téton, et la même douleur si forte se répète.

Il me retire les gants, me détache les bras et les jambes, puis me guide dans la pièce où j’étais attaché plus tôt. « Voici ton lit pour ce soir, » me dit-il. Je touche le sol et sens une petite cage.

« Allez, enjambe. » Je suis toujours sans voir. « Allez ! » Je m’exécute.

« Allez, à genoux. » Je commence à paniquer, mais j’obéis. « Mains au sol. » Je me retrouve à quatre pattes dans une cage en métal. Les barres me font mal aux jambes. « Maître, s’il vous plaît, non, » je supplie. « Puis-je au moins enlever ce bandeau pour voir ? »

« Attends, » dit-il.

J’entends le bruit du couvercle qui se ferme, puis des chaînes lourdes qu’il passe. « C’est bon. »

Je retire le bandeau. Je vois que la seule position possible est à 4 pattes. Il a mis un miroir au niveau de ma tête pour me faire prendre conscience encore plus de ma nature. Je commence à haleter. « Non, je ne peux pas, Maître, s’il vous plaît. »

« Estime-toi heureux. Tu peux bouger la tête, j’aurais aussi pu l’attacher aux barreaux. » Il me souhaite une bonne nuit en partant et éteint la lumière.

Il ferme la porte. Je me mets à crier et à pleurer. « Non ! Non ! Je ne veux pas ! Vous m’aviez promis mon téléphone vers 22h30, je ne l’ai pas eu ! Maître, s’il vous plaît ! »

« Tu paniques encore, » dit-il.

Une nouvelle crise d’angoisse me prend. « Non Maître, s’il vous plaît, je ne peux pas. »

Il revient avec mon téléphone et mes lunettes, et me les tend à travers les barreaux. Je vérifie mes messages rapidement.

« Rends-moi le téléphone. »

« Non. »

« Rends-moi le téléphone ! »

« Sortez-moi de là ! »

« Je crois que tu n’as pas compris que tu ne décides pas ici. Rends-moi le téléphone. »

« Non ! » Je hurle que je veux arrêter, que je veux rentrer chez moi, que je ne suis pas un chien et que j’avais écrit sur le questionnaire que la cage était une limite à moyen terme. « Relisez ! »

« Si j’ouvre, c’est fini, tu repars, mais je ne te reverrai plus jamais. »

Je me sens idiot, je sais que je fais une énorme connerie, et je le lui dis.

Il me libère. Je me lève, me rhabille, et je rassemble tous mes jouets. Je m’arrête un instant devant les gants en cuir. « Ce sont les vôtres ou les miens ? » je demande.

Il hésite. « Les miens, » dit-il.

« T’es sûr de toi ? »

« Oui, Maître. »

« Tu as compris les conséquences ? »

« Oui, Maître. »

« Tu fantasmes, » me lance-t-il.

« Non, j’ai subi, vous l’avez vu. »

« Ah, c’est sûr, tu encaisses, mais tu fantasmes sur l’appartenance. »

« Non, Maître. C’est juste que ce n’était pas progressif. Vous auriez pu m’attacher au fond du lit avant la cage. »

Je récupère toutes mes affaires, le regarde et le remercie pour le temps et la séance. Je sors, et il ferme la porte derrière moi.

Arrivé à ma voiture, je charge tout et je regarde l’heure : 23h30. J’ai tenu sans pause tout ce temps. Les larmes me montent aux yeux. J’hésite à retourner frapper à la porte, puis je m’éloigne, en pleurant. Quelques centaines de mètres plus loin, je me rends compte qu’il m’a bloqué. Je suis anéanti.

Je rentre chez moi et je lui envoie un email.

Nous sommes dimanche, six jours plus tard. Je lui ai envoyé des emails et des messages sur d’autres sites, demandant pardon, mais tout est resté lettre morte. Mon cerveau me fait mal. Je ne pense qu’à lui tout le temps. Je voudrais juste le revoir, pour qu’on parle, qu’on débriefe. C’est tout ce que je veux.

Il ne me reprendra pas j’en suis sûr mais cela m’apaiserait.

Après des échanges avec des amis, tous me disent que ce n’était pas le bon. 

Ils ont raison. Je dois tourner la page.

Je finirai par avoir une reponse après lui avoir envoyé cette histoire. Une réponse qui montre sa non-remise en question et qui m’accable. Ce sera l’électrochoc dont j’avais besoin pour rebondir et reprendre le cours de ma vie.

Merci de m avoir lu jusqu’au bout.

Le point principal à retenir est que sans une réelle confiance entre le domi et le soumis, les séances ne peuvent pas se dérouler sereinement.  

J’ai ce côté versatile, j’ai eu et j’en ai encore des soumis. 

Le dialogue et l’échange sont primordiaux pour mettre en place l’appartenance.  

Cette histoire était là pour montrer à ceux qui veulent s’engager dans cette voix d’être prudents et vigilants. 

Lire d’autres confessions

Ne manque pas
une occasion !

Inscris-toi et reçois ton Ebook en cadeau contenant 5 "Confess De Coquins" Inédites + ton code promo pour la boutique du site.

Nous ne spammons pas ! Consultez notre politique de confidentialité pour plus d’informations.

Site réservé à un public majeur de + de 18 ans