Les Déménageurs

Plongez dans une étreinte sensuelle et imprévue : après l'ophtalmo, un daddy de 50 ans se laisse emporter par le désir brûlant de deux déménageurs athlétiques sur Grindr. Récit vrai, voluptueux et envoûtant.


Lundi 6 octobre, j’ai rendez-vous chez l’ophtalmo à 9h15.

Je pars de la maison 30 min avant pour la route, après une bonne douche en profondeur. J’arrive 5 min avant, j’allume Grindr pour voir les mecs autour au cas où.

Je me rends dans le cabinet et la salle d’attente. Rien de passionnant sur l’appli. Mon tour arrive et, à 9h40, c’est la fin de la consultation.

Avant de reprendre la route et de rejoindre la salle de sport, je regarde une dernière fois l’appli jaune et noire.

Surprise, deux notifications ! Tiens, c’est rare.

Je regarde la première de « Je suis actif T » et la deuxième de « Blacktbm ». Les deux me demandent la même chose : si je suis passif, si je suce et si je suis dispo.

Bizarre que ce soient les mêmes demandes et que les profils soient l’un à côté de l’autre. Ils m’ont chacun mis une photo de leur engin. Et à ma grande surprise, ils sont plus que bien montés, les mecs !

Je lis leur profil, et les deux sont déménageurs. Je me dis : « C’est du fake ou c’est le même mec qui n’a absolument pas ces dimensions ».

Je le leur dis sur chaque profil, et ils me disent qu’ils sont bien deux, qu’ils sont bien déménageurs et qu’ils chassent à deux. Ils me proposent de venir les sucer à leur pause dans l’appartement qu’ils sont en train de vider. Et que si je viens, je ne le regretterai pas.

Je fais mine d’hésiter dans ma voiture, mais dans ma tête, la décision est déjà prise.

Je leur demande l’adresse et je m’y rends, la boule au ventre, car les queues sont grandes.

Petit retour en arrière de présentation.

Derrière le profil « Je suis actif T » se cache un jeune Turc de 21 ans d’1m74, 60 kg, poilu. Quant au profil « blacktbm », il abrite un jeune Black de 26 ans d’1m77 pour 62 kg, sportif. Quant à moi, daddy de 50 ans en reconversion physique : 1m80 pour 95 kg.

Bref, arrivé sur place, je repère le camion de déménagement et le Black qui porte un carton.

Je me gare non loin et me dirige vers le camion.

Il m’aperçoit, dépose son carton dans le camion et le ferme.

« Viens, c’est au 3ème, mon pote est là-haut. »

Docilement et en observant les lieux, je le suis dans l’appartement.

« Regarde qui est là », dit-il à son pote qui remplit un carton dans ce qui devait être le salon.

« Ah, cool, on va faire la pause. »

Il se malaxe le paquet en me regardant, et j’entends la porte se fermer à clé dans mon dos.

« On sera tranquille comme ça. On va dans la chambre. »

Ils partent dans la pièce à côté et je les suis.

Quand j’entre à mon tour dans la pièce, ils n’ont pas traîné et sont déjà allongés sur un matelas au sol, pantalons aux cuisses.

« Allez, au travail, viens nous sucer », me dit le plus jeune.

« Déshabille-toi », me dit son pote.

Je pose mon pantalon et mon t-shirt, mais je garde mon caleçon. Puis je viens à quatre pattes entre les cuisses du jeune Turc qui se touche à travers son CK noir.

Je le lui retire et son sexe, dur comme du béton, en surgit. Il est déjà bien raide. Je commence alors à lui lécher les couilles, qui ne sont pas si grosses comparées à son sexe, pendant qu’il se branle doucement.

Comment un corps si athlétique peut-il avoir une aussi grosse queue ? Dame nature est parfois surprenante.

Pendant que je lèche et gobe tranquillement, je caresse son pote, posé à côté, qui se touche à travers un boxer blanc avec des motifs de couleurs qui contraste avec sa peau d’ébène. Il a l’air d’être très gêné par ce bout de tissu. Je me fais donc un devoir de le lui ôter.

Je lâche les boules du plus jeune et retire ce maudit boxer pour voir apparaître une véritable poutre.

Non, mais des queues comme ça, je n’en ai jamais testé en vrai !

« Te laisse pas distraire, mec, reprends ton boulot de suceuse. »

Je me fais rappeler à l’ordre par le jeunot. Ni une ni deux, je me remets au travail et je remonte sa large queue pour arriver sur son gland qui ne demande qu’à entrer dans ma bouche. Je commence d’abord par des coups de langue sur son gland, puis je l’aspire et je fais tourner ma langue autour du gland sans descendre plus loin.

« Oh putain, on en tient une bonne, là, frère. Il a faim ! »

« Lui casse pas la bouche avant que je l’aie essayée, bro. »

Je sens alors le jeune en rut qui veut prendre le contrôle et m’enfonce son mandrin dans la gorge. C’est gros. J’ai un haut-le-cœur, mais j’encaisse quand il m’appuie sur la tête pour que je sente qu’il est en fond de gorge.

« Ohhhh ! »

« Prête-moi sa bouche. »

Me voilà à reprendre mon souffle pendant 20 secondes avant que le Renoi me donne sa longue tige à téter. Je ne peux pas tout avaler, mais j’entends ses râles de plaisir et ses commentaires salaces sur mes aptitudes buccales.

Je vais alterner entre leurs queues comme ça pendant bien 20 minutes. Puis, pendant que je suis occupé à essayer d’engloutir l’anaconda noir, le plus jeune se lève, se rend dans la cuisine, se fait couler de l’eau (je déduis de ce que j’entends). Il revient et, au lieu de se rallonger à sa place, je le sens me caresser les fesses à travers le caleçon. Je suis un peu surpris et je tourne la tête pour voir.

Le Renoi m’attrape par les cheveux et me remet au taff.

« T’occupe pas de mon pote. Il va t’enlever le caleçon et te baiser. »

« Euh, avec capote s.v.p. et du gel. »

« Il a tout ce qu’il faut, on va pas t’abîmer, on n’en a pas fini avec toi. Allez, avale-la bien. »

Pendant ce temps, je sens que le petit Turc me retire mon caleçon et se place entre mes fesses qu’il commence à écarter de ses mains.

Alors, une sensation humide se pose sur mon trou et je sens qu’il commence à me le bouffer. Je suis terriblement excité et je m’ouvre déjà. Il en profite pour insérer sa langue pendant que j’émets un gémissement.

Ne perdant pas ma mission de vue, ma gorge est assaillie par le mandrin de devant.

Sentir la force brute dans ma bouche et la douceur sur son trou sont des sensations qui me font autant d’effet qu’une bouffée de poppers.

Plus la langue s’insère, plus je le veux en moi.

Le garçon est doux et n’en est pas à sa première fois. Il retire sa langue pour glisser deux doigts humides.

« Il n’est pas prêt encore, dit-il à son collègue, mais putain, il a un cul de compétition. T’as dû en prendre déjà, des queues, toi », en me claquant doucement le cul.

Je lâche le braquemart de son pote.

« Disons que ce ne sont pas les premières, mais jamais d’aussi longues », en montrant « the Black Dick ».

Je reprends ma suce en léchant de haut en bas son sexe tendu.

Mon jeune Turc me tartine de gel, puis recommence avec ses doigts pour bien m’ouvrir et me donner du plaisir. Il arrive facilement à trois doigts.

« C’est bon, je vais te faire le passage. La salope, cambre bien ton cul. »

Je m’exécute et j’entends le bruit d’un emballage qu’on ouvre.

Il enfile une capote et présente son gland à l’entrée. Doucement, il pousse et s’insinue dans mon fondement.

Je n’ai pas mal et une chaleur m’envahit petit à petit. Je redouble d’effort sur la Black Dick.

Enfin, il est au bout et je sens ses couilles sur mon cul.

Il entame alors un lent et doux va-et-vient, et moi, je cale les miens sur le rythme de cette queue qui me fait couiner. Il agrippe mes hanches et accélère ses mouvements et leurs amplitudes jusqu’à sortir totalement et rentrer sans ménagement, mais sans me faire mal non plus.

Si moi, j’ai déjà eu des queues, lui, il a dû avoir des culs… Croyez-moi, il n’en est pas à son coup d’essai.

Son pote s’est levé. J’ai maintenant la tête posée sur le matelas, le cul en l’air. Une grosse queue dans le cul et une autre au-dessus de mon corps.

« Pas mal, Bro, tu l’as bien élargi. On va voir si elle prend la longueur, cette salope. »

« Vas-y, je te le laisse et tu vas voir comme son cul est chaud. »

Il décule et je ressens alors un vide. Je dois être bien ouvert. J’appréhende un peu la Black Dick, mais je suis dans un état second de plaisir, alors profitons.

Le jeune me relève la tête et me regarde dans les yeux.

« Tu vas kiffer grave, il est doué mon pote avec son morceau. Regarde-moi et lâche pas mes yeux. »

Un peu surpris, je fixe ses yeux et me concentre dessus, si bien que lorsque la Black Dick entre en moi, je suis surpris de la sentir progresser. Je tourne la tête vers mon pourfendeur, mais le plus jeune me dit :

« Hey, gros, regarde-moi, je t’ai dit. »

Je me reconcentre sur ses yeux et je sens tout mon corps transpercé par cette épée.

Le jeune Turc s’assoit devant moi et me représente sa queue à sucer pendant que son pote me lime doucement en allant toujours plus loin.

Plus vite, plus loin, moins vite, moins fort : il alterne sans cesse les changements de rythmes. J’en ai lâché la queue à sucer et je gémis toujours plus et plus fort, suivant le rythme.

Le jeune Turc se lève et va derrière avec son pote, et je sens à nouveau le vide, puis je suis re-rempli, et ainsi de suite. Ils s’échangent mon cul.

Je ne sais pas combien de temps va durer ce manège, mais un moment.

Enfin, le jeune Turc accélère dans mon cul à me faire crier pour lâcher sa dose dans la capote en hurlant des mots que je ne comprends pas.

À peine est-il sorti de mon cul que son pote prend le relais. Je suis allongé sur le ventre, ma queue me fait mal, ma gorge aussi et mon cul n’en peut plus.

Pourtant, il entre en moi très facilement et recommence à me pilonner. Et je sens qu’il veut montrer à son pote qu’il peut aussi me faire crier. Et, sans se forcer beaucoup, c’est ce qu’il fait.

Je suis en transe et il tape si fort sur ma prostate que je jouis du cul au moment où il lâche sa purée dans la capote.

Il se retire. Je suis en sueur, exténué. Il me claque le cul.

« Merci, mec, c’était top. T’as un cul de rêve et tu suces super bien. Rhabille-toi, faut qu’on rattrape le retard maintenant. »

Je sens que je dois me dépêcher. Je me rhabille en vitesse.

Le jeune Turc me raccompagne en bas et, avant d’être sorti, m’embrasse sans que je m’y attende. Devant mon air surpris, il me dit :

« Franchement, mec, j’ai passé un excellent moment. Y a bien longtemps que j’avais pas baisé un cul pareil. Ça méritait bien un petit bisou. Je regrette qu’on doive partir demain, sinon j’aurais bien pris un abonnement. »

« Merci, t’es gentil. Je ne vis pas ici non plus, mais j’avoue que baiser avec vous deux régulièrement m’aurait bien plu aussi.

Rentrez bien. »

Ainsi, à 11h55, je suis reparti pour la salle de sport avant de rentrer à la maison où vous vous doutez bien que je n’ai pas fait grand-chose de mon après-midi.

J’espère que vous aurez aimé cette histoire réelle.

Lire d’autres Confessions

Ne manque pas
une occasion !

Inscris-toi et reçois ton Ebook en cadeau contenant 5 "Confess De Coquins" Inédites + ton code promo pour la boutique du site.

Nous ne spammons pas ! Consultez notre politique de confidentialité pour plus d’informations.

Site réservé à un public majeur de + de 18 ans